« On ne devrait pas parler d’anglicisme ou d’américanisme, mais de californisme, car la plupart d’entre eux viennent de la Silicon Valley », explique Alain Rey dans « Le Parisien ».
« On ne devrait pas parler d’anglicisme ou d’américanisme, mais de californisme, car la plupart d’entre eux viennent de la Silicon Valley », explique Alain Rey dans « Le Parisien ».